J’ai marché vers mon but,
Ecartant ceux devant moi.
Dans ces longues luttes,
Je n’ai ressenti aucun émois.
A mi-chemin je t’ai rencontré,
Mais je n’ai pu t’écarter,
Et je suis resté à ta merci,
Devant toi, déesse de mes nuits.
Tu m’as regardé
de toute ta grandeur,
Et je n’ai pu qu’admirer ta splendeur.
Maintenant mon but s’est éloigné,
A moins que celui-ci n’est changé…