A l’Ombre du Mal

 

Sur ce monde vil mon regard porte
Le courroux des Dieux infernaux
Mes yeux brûlant d’une haine
Dont la noirceur transcende le verbe
Je n’ai que faire de cette foi stagnante
Sur laquelle vous naviguez
Tels des vaisseaux de chair impure
Vos peurs sont légions, vos faiblesses multitudes
A l’ombre du Mal je me moque
De vos existences futiles

 

Timmy    29.05.04